L’impact de l’Indochine française sur la pensée de Marguerite Duras dans L’Amant

Dans L'Amant, roman à teneur autobiographique, publié en 1984 Duras raconte son enfance et son adolescence passées en Indochine durant la colonisation française. Son témoignage montre une expérience poignante qui explore les conséquences durables de la colonisation sur la mémoire, le désir, la quête identitaire et surtout son engagement politique. Sa relation amoureuse avec un Chinois interdite par les normes sociales de l'époque, est une forme de rébellion contre l'ordre colonial. Elle symbolise le désir de transcender les barrières et les conventions. Façonnée par un milieu colonial, Duras semble proche des indigènes à cause de sa pauvreté malgré son appartenance à la classe coloniale française. A la recherche de la vérité de son identité, Duras a remis en question l'histoire coloniale française en Indochine, l'actuel Vietnam. Mais grâce à la Francophonie, la coopération entre l'Hexagone et ses ex-colonies persiste jusqu’à nos jours.

Sa relation amoureuse avec un Chinois interdite par les normes sociales de l'époque, est une forme de rébellion contre l'ordre colonial. Elle symbolise le désir de transcender les barrières et les conventions. Façonnée par un milieu colonial, Duras semble proche des indigènes à cause de sa pauvreté malgré son appartenance à la classe coloniale française. A la recherche de la vérité de son identité, Duras a remis en question l'histoire coloniale française en Indochine, l'actuel Vietnam. Mais grâce à la Francophonie, la coopération entre l'Hexagone et ses ex-colonies persiste jusqu’à nos jours.